Drôle de zèbre, entre hypersensibilité, hauts potentiels, TDAH et déprime.

Zèbre, TDAH, Neuroatypie, HPI/HPE, le diagnostic ?

    Je vais vous parler de mon parcours. Je pense que cela peut être intéressant.

Remontons le temps.

               Une sensation profondément ancrée, de décalage, de ne pas penser comme les autres, voire de ne pas appartenir à ce monde, m’habite depuis l’enfance. Je n’ai jamais entrevu cette particularité comme une supériorité, mais bien au contraire en résultait un mal-être, un inconfort social et une certaine honte. Heureusement, le temps a passé et je suis aujourd’hui contente (je n’irai pas jusqu’à dire fière) de ces différences. A l’époque, cela s’exposait par une grande timidité, des moments de profonde solitude, un esprit vagabondant de ci et là, des sens et émotions à fleurs de peau au point d’en être douloureux, une certaine incompréhension vis-à-vis de certains enseignants et enseignantes. Je vais essayer d’être brève à travers cet article alors n’entrons pas dans les détails et faisons un bon dans le temps !

Etape une : l’hypersensibilité.

         Et voilà qu’un jour, je tombe sur l’ouvrage de A fleur de peau, le roman initiatique de Saverio Tomasella. Un poids s’évapore à la lecture de cet ouvrage. Je découvre l’hypersensibilité, je commence à comprendre beaucoup de choses, je commence à me comprendre. Je vous conseille vivement cette lecture si vos questionnements sur le monde qui nous entoure rejoignent les miens, d’une manière ou d’une autre. Entre hypersensibilité et introversion, me voilà avec des pistes intéressantes en main.

Seulement cela n’a pas suffi.

Le temps passe et nous parlons de plus en plus d’hypersensibilité de ci et là. J’aurais bien aimé en entendre parler quelques années avant au lieu de passer du néant d’information à la surmédiatisation ! Mais soit, il vaut mieux informer que cela soit pour les concernés et pour leur proche. Cela enlèvera bien des poids sur les épaules.

L’hypersensibilité qu’elle soit sensorielle, émotionnelle ou bien les deux, concernerait jusqu’à un quart de la population. Plus le temps passe, plus je vois et entends des personnes mettre en avant leur hypersensibilité. Alors pourquoi cela a toujours était-il si dur si cela concerne autant d’autres personnes ? Je commence à me dire que ce n’est pas tout, que je n’ai répondu qu’à une partie seulement de l’énigme.

Haut potentiel émotionnel, TDAH, neuro-atypie ?

              

        Au fil du temps et de discussions avec des amies (nous avons fini par nous rejoindre entre gens dit « bizarres » semblerait-il), j’entends parler de haut potentiel, de zèbre, de neuro-atypie, de spectres autistiques et de TDAH (que je m’évertue à prononcer TDHA, mais gardons cela pour la suite de l’histoire).
Plus je lis, plus je me retrouve dans le haut potentiel émotionnel et dans le spectre zèbre (spectre des neuro-atypiques et hauts potentiels). Je ne pense pas au haut potentiel intellectuel, ayant toujours douté de mes capacités. Par contre, je me retrouve dans le haut potentiel émotionnel, ayant souvent cerné des choses que d’autres ne voyaient pas, ayant l’impression de me prendre ces messages non-verbaux et de tons de voix comme « des murs dans la gueule » et me sentant devenir folle en voyant des proches tomber dans le piège de pervers et perverses narcissiques sans que ma voix soit entendue. Bien sûr, ce dernier point est un tout autre sujet, mais cela n’empêche que mon ressenti pouvait être violent à ce propos (je ne comprenais pas que des choses si évidentes ne le soit pas pour les autres, pourtant, j’ai appris avec le temps qu’il s’agissait d’un de point de ma particularité, instinct fort ayant été renforcé par un vécu familial très compliqué). Mais lorsque l’on est plus jeune et non prise au sérieux à ce propos, les émotions sont compliquées à gérer. Bref, des évidences viennent à moi, mais je commence à les remettre en question comme je le fais en permanence sur n’importe quel sujet.

Et s’il ne s’agissait que de biais de confirmation ?

 

        Entre temps, entre de nombreuses péripéties et arrivées dans le monde professionnel : bore-out (le flirt avec le burn-out, terme que l’on entend partout de nos jours, était plutôt durant les études d’architecture, comme beaucoup d’étudiants et étudiantes de ce domaine, le bore-out apparaît par la sous-estimation de nos compétences dans le milieu professionnel, caractérisée par des tâches monotones et répétitives, entraînant démotivation et profond ennui) et dépression pointes le bout de leur nez. En me voyant prendre une pente plus que glissante, je décide de consulter, et cette fois-ci non un ou une psychologue classique, mais une neuropsychologue spécialisée dans tout ce petit monde zébré. Je me dis que je pourrais éventuellement faire une pierre de coup, surtout que j’ai l’intime sensation, que les deux systèmes sont liés : sortir d’un état dépressif en se comprenant mieux. De plus, je me dis que les caractéristiques au sein desquelles je me retrouve ne sont peut-être que des biais de confirmation, résonnant en moi comme le pourrait faire un horoscope. J’apprends également, qu’en France, il n’existe pas de réels tests permettant de diagnostiquer le haut potentiel émotionnel, qu’il n’y a d’ailleurs pas consensus sur ce sujet. J’ai besoin de ces réponses, des réponses dites scientifiques, je le sens profondément.

Neuropsy, thérapie EMDR, traumas complexes et diagnostic.

        Bon, je vous passe les détails, encore une fois, première rencontre avec la première neuro-psy. Il se trouve que j’aurais encore du stress post-traumatique dans les chaussons dont je pensais mettre plus ou moins débarrassé. Et il semblerait que ce même post-trauma soit la cause de mes phases de déprime et anxiété chroniques. Bon ce n’est pas comme si je tombais complétement des nues, mais j’en ai sensiblement ras-le-bol que cette partie de mon passé vient encore me pourrir la vie. La neuropsy pense qu’un bilan HPI serait intéressant à me faire passer, mais qu’il serait trop tôt et me conseille de consulter une de ses collègues, également neuropsychologue spécialisée en haut potentiel, mais aussi praticienne de thérapie EMDR. 

QUID de la thérapie EMDR ?

        Par mouvements des yeux, ou simplement par un jeu de rythme quel qu’il soit, la thérapie EMDR permet d’archiver et de soigner des traumas.

Nous commençons la thérapie avec la seconde neuropsychologue, avec qui le courant passe très bien. Elle me diagnostique des traumas complexes (c’est-à-dire qu’il s’agit de plusieurs événements traumatiques entremêlés, et non d’un événement précis à un moment donné, grosso merdo). Elle aussi avance la thèse du haut potentiel, et au fil des séances en devient totalement persuadée.

Je ne peux que vous recommander de tester la thérapie EMDR, encadrée par un ou une professionnelle ayant la formation adéquate. Cela n’est pas une promenade de santé, vous allez être émotionnellement chamboulé.e. C’est pourquoi, je ne conseillerais pas (de mon point de vue) de commencer une toute première thérapie par celle-ci, mais bien de commencer par le type plus classique de l’échange et de la discussion.

La thérapie porte ses fruits petit à petit, bien que je passe par des phases encore bien compliquées.

Entre temps, et peut-être encore un peu trop tôt je le pense, mais jeu des rendez-vous médical à pouvoir obtenir, je commence les examens avec la première praticienne. Mon QI serait trop hétéroclite pour être calculé, bien que l’on serait sur un haut potentiel intellectuel ayant permis de masquer pendant des années le diagnostic d’un TDAH et une potentielle dyslexie/orthographie, le calcul venant d’autant plus être faussé par mes maux de têtes continuels depuis une méningite (il y a bien longtemps, pour ceux et celles qui me suivent aussi sur Instagram vous connaissez bien mes soucis de santé chroniques) qui altère ma mémoire à court terme.  En effet, jusqu’à cette méningite j’avais toujours eu une très bonne mémoire qu’elle soit à court ou long terme, sauf que depuis les céphalées faisant étau de mon crâne en continu, ma mémoire de travail est bien plus chamboulée. D’autre part, les tests sont davantage basés sur une mémoire de travail auditive, et personnellement je fonctionne bien mieux en visuel.

La neuro-psy me faisant faire la thérapie EMDR m’aurait plutôt conseillé de passer auprès d’elle, le test d’aptitudes générales qu’elle trouve davantage complet, le test de QI favorisant (d’après cette dernière, personnellement je ne m’y connais pas assez) certains types d’intelligence et défavorisant d’autres modes de fonctionnement. Concernant les questions dys et TDHA : Dys avec une orthophoniste sans surprise et TDAH avec un neurologue, je me suis dit que mes derniers rdvs neuro remontent à loin, alors pourquoi pas en profiter pour faire un point global ? J’avais accepté de vivre avec mes maux de têtes quotidiens sans traitement (faute d’en trouver un efficace). Faute de rendez-vous disponible à ce moment-là et ayant entre-temps déménagé dans une nouvelle région, je me suis concentrée sur la construction de ce nouveau chapitre. – Affaire à suivre –

Qui suis-je où vais-je ?

               C’est une question qui me taraude toujours aujourd’hui, mais différemment, j’aime ces particularités, je les questionne encore et je pense que je le ferais toujours, c’est ma manière de penser. Mais la question n’est plus viscérale bien que toujours emplie d’une certaine poésie mélancolique qui a toujours gambadé au sein de mon esprit, entre conscient et inconscient.

J’écris d’ailleurs sur le sujet, sous forme d’un journal plus ou moins fictif, plus ou moins autobiographique. Je m’intéresse depuis plusieurs années au développement personnel, mais j’ai souvent du mal à accrocher avec la forme d’écriture des livres de développement personnel et davantage avec ceux traitant de la question zébrée. Ne me targuant pas de proposer une écriture meilleure, mais seulement un style qui me parle personnellement, davantage dans la poésie du moment. Qu’en penseriez-vous ?
  • Photographe : Emma Prades
  • Maquilleuse : Amélie Jonquet
  • Studio : Etienne Clotis

Zèbre, TDAH, Neuroatypie, HPI/HPE, le diagnostic ?

    Je vais vous parler de mon parcours. Je pense que cela peut être intéressant.

Remontons le temps.

               Une sensation profondément ancrée, de décalage, de ne pas penser comme les autres, voire de ne pas appartenir à ce monde, m’habite depuis l’enfance. Je n’ai jamais entrevu cette particularité comme une supériorité, mais bien au contraire en résultait un mal-être, un inconfort social et une certaine honte. Heureusement, le temps a passé et je suis aujourd’hui contente (je n’irai pas jusqu’à dire fière) de ces différences. A l’époque, cela s’exposait par une grande timidité, des moments de profonde solitude, un esprit vagabondant de ci et là, des sens et émotions à fleurs de peau au point d’en être douloureux, une certaine incompréhension vis-à-vis de certains enseignants et enseignantes. Je vais essayer d’être brève à travers cet article alors n’entrons pas dans les détails et faisons un bon dans le temps !

Etape une : l’hypersensibilité.

         Et voilà qu’un jour, je tombe sur l’ouvrage de A fleur de peau, le roman initiatique de Saverio Tomasella. Un poids s’évapore à la lecture de cet ouvrage. Je découvre l’hypersensibilité, je commence à comprendre beaucoup de choses, je commence à me comprendre. Je vous conseille vivement cette lecture si vos questionnements sur le monde qui nous entoure rejoignent les miens, d’une manière ou d’une autre. Entre hypersensibilité et introversion, me voilà avec des pistes intéressantes en main.

Seulement cela n’a pas suffi.

Le temps passe et nous parlons de plus en plus d’hypersensibilité de ci et là. J’aurais bien aimé en entendre parler quelques années avant au lieu de passer du néant d’information à la surmédiatisation ! Mais soit, il vaut mieux informer que cela soit pour les concernés et pour leur proche. Cela enlèvera bien des poids sur les épaules.

L’hypersensibilité qu’elle soit sensorielle, émotionnelle ou bien les deux, concernerait jusqu’à un quart de la population. Plus le temps passe, plus je vois et entends des personnes mettre en avant leur hypersensibilité. Alors pourquoi cela a toujours était-il si dur si cela concerne autant d’autres personnes ? Je commence à me dire que ce n’est pas tout, que je n’ai répondu qu’à une partie seulement de l’énigme.

Haut potentiel émotionnel, TDAH, neuro-atypie ?

              

        Au fil du temps et de discussions avec des amies (nous avons fini par nous rejoindre entre gens dit « bizarres » semblerait-il), j’entends parler de haut potentiel, de zèbre, de neuro-atypie, de spectres autistiques et de TDAH (que je m’évertue à prononcer TDHA, mais gardons cela pour la suite de l’histoire).
Plus je lis, plus je me retrouve dans le haut potentiel émotionnel et dans le spectre zèbre (spectre des neuro-atypiques et hauts potentiels). Je ne pense pas au haut potentiel intellectuel, ayant toujours douté de mes capacités. Par contre, je me retrouve dans le haut potentiel émotionnel, ayant souvent cerné des choses que d’autres ne voyaient pas, ayant l’impression de me prendre ces messages non-verbaux et de tons de voix comme « des murs dans la gueule » et me sentant devenir folle en voyant des proches tomber dans le piège de pervers et perverses narcissiques sans que ma voix soit entendue. Bien sûr, ce dernier point est un tout autre sujet, mais cela n’empêche que mon ressenti pouvait être violent à ce propos (je ne comprenais pas que des choses si évidentes ne le soit pas pour les autres, pourtant, j’ai appris avec le temps qu’il s’agissait d’un de point de ma particularité, instinct fort ayant été renforcé par un vécu familial très compliqué). Mais lorsque l’on est plus jeune et non prise au sérieux à ce propos, les émotions sont compliquées à gérer. Bref, des évidences viennent à moi, mais je commence à les remettre en question comme je le fais en permanence sur n’importe quel sujet.

Et s’il ne s’agissait que de biais de confirmation ?

 

        Entre temps, entre de nombreuses péripéties et arrivées dans le monde professionnel : bore-out (le flirt avec le burn-out, terme que l’on entend partout de nos jours, était plutôt durant les études d’architecture, comme beaucoup d’étudiants et étudiantes de ce domaine, le bore-out apparaît par la sous-estimation de nos compétences dans le milieu professionnel, caractérisée par des tâches monotones et répétitives, entraînant démotivation et profond ennui) et dépression pointes le bout de leur nez. En me voyant prendre une pente plus que glissante, je décide de consulter, et cette fois-ci non un ou une psychologue classique, mais une neuropsychologue spécialisée dans tout ce petit monde zébré. Je me dis que je pourrais éventuellement faire une pierre de coup, surtout que j’ai l’intime sensation, que les deux systèmes sont liés : sortir d’un état dépressif en se comprenant mieux. De plus, je me dis que les caractéristiques au sein desquelles je me retrouve ne sont peut-être que des biais de confirmation, résonnant en moi comme le pourrait faire un horoscope. J’apprends également, qu’en France, il n’existe pas de réels tests permettant de diagnostiquer le haut potentiel émotionnel, qu’il n’y a d’ailleurs pas consensus sur ce sujet. J’ai besoin de ces réponses, des réponses dites scientifiques, je le sens profondément.

Neuropsy, thérapie EMDR, traumas complexes et diagnostic.

        Bon, je vous passe les détails, encore une fois, première rencontre avec la première neuro-psy. Il se trouve que j’aurais encore du stress post-traumatique dans les chaussons dont je pensais mettre plus ou moins débarrassé. Et il semblerait que ce même post-trauma soit la cause de mes phases de déprime et anxiété chroniques. Bon ce n’est pas comme si je tombais complétement des nues, mais j’en ai sensiblement ras-le-bol que cette partie de mon passé vient encore me pourrir la vie. La neuropsy pense qu’un bilan HPI serait intéressant à me faire passer, mais qu’il serait trop tôt et me conseille de consulter une de ses collègues, également neuropsychologue spécialisée en haut potentiel, mais aussi praticienne de thérapie EMDR. 

QUID de la thérapie EMDR ?

        Par mouvements des yeux, ou simplement par un jeu de rythme quel qu’il soit, la thérapie EMDR permet d’archiver et de soigner des traumas.

Nous commençons la thérapie avec la seconde neuropsychologue, avec qui le courant passe très bien. Elle me diagnostique des traumas complexes (c’est-à-dire qu’il s’agit de plusieurs événements traumatiques entremêlés, et non d’un événement précis à un moment donné, grosso merdo). Elle aussi avance la thèse du haut potentiel, et au fil des séances en devient totalement persuadée.

Je ne peux que vous recommander de tester la thérapie EMDR, encadrée par un ou une professionnelle ayant la formation adéquate. Cela n’est pas une promenade de santé, vous allez être émotionnellement chamboulé.e. C’est pourquoi, je ne conseillerais pas (de mon point de vue) de commencer une toute première thérapie par celle-ci, mais bien de commencer par le type plus classique de l’échange et de la discussion.

La thérapie porte ses fruits petit à petit, bien que je passe par des phases encore bien compliquées.

Entre temps, et peut-être encore un peu trop tôt je le pense, mais jeu des rendez-vous médical à pouvoir obtenir, je commence les examens avec la première praticienne. Mon QI serait trop hétéroclite pour être calculé, bien que l’on serait sur un haut potentiel intellectuel ayant permis de masquer pendant des années le diagnostic d’un TDAH et une potentielle dyslexie/orthographie, le calcul venant d’autant plus être faussé par mes maux de têtes continuels depuis une méningite (il y a bien longtemps, pour ceux et celles qui me suivent aussi sur Instagram vous connaissez bien mes soucis de santé chroniques) qui altère ma mémoire à court terme.  En effet, jusqu’à cette méningite j’avais toujours eu une très bonne mémoire qu’elle soit à court ou long terme, sauf que depuis les céphalées faisant étau de mon crâne en continu, ma mémoire de travail est bien plus chamboulée. D’autre part, les tests sont davantage basés sur une mémoire de travail auditive, et personnellement je fonctionne bien mieux en visuel.

La neuro-psy me faisant faire la thérapie EMDR m’aurait plutôt conseillé de passer auprès d’elle, le test d’aptitudes générales qu’elle trouve davantage complet, le test de QI favorisant (d’après cette dernière, personnellement je ne m’y connais pas assez) certains types d’intelligence et défavorisant d’autres modes de fonctionnement. Concernant les questions dys et TDHA : Dys avec une orthophoniste sans surprise et TDAH avec un neurologue, je me suis dit que mes derniers rdvs neuro remontent à loin, alors pourquoi pas en profiter pour faire un point global ? J’avais accepté de vivre avec mes maux de têtes quotidiens sans traitement (faute d’en trouver un efficace). Faute de rendez-vous disponible à ce moment-là et ayant entre-temps déménagé dans une nouvelle région, je me suis concentrée sur la construction de ce nouveau chapitre. – Affaire à suivre –

Qui suis-je où vais-je ?

               C’est une question qui me taraude toujours aujourd’hui, mais différemment, j’aime ces particularités, je les questionne encore et je pense que je le ferais toujours, c’est ma manière de penser. Mais la question n’est plus viscérale bien que toujours emplie d’une certaine poésie mélancolique qui a toujours gambadé au sein de mon esprit, entre conscient et inconscient.

J’écris d’ailleurs sur le sujet, sous forme d’un journal plus ou moins fictif, plus ou moins autobiographique. Je m’intéresse depuis plusieurs années au développement personnel, mais j’ai souvent du mal à accrocher avec la forme d’écriture des livres de développement personnel et davantage avec ceux traitant de la question zébrée. Ne me targuant pas de proposer une écriture meilleure, mais seulement un style qui me parle personnellement, davantage dans la poésie du moment. Qu’en penseriez-vous ?
  • Photographe : Emma Prades
  • Maquilleuse : Amélie Jonquet
  • Studio : Etienne Clotis

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Cet article a 2 commentaires

  1. Patrick

    Super article très captivant !

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